Malgré les critiques et les attaques personnelles, le chef de l’Etat poursuit son œuvre de développement du pays. Plusieurs chantiers arrivent à leur terme tandis que d’autres démarrent. Le rythme est infernal pour ses adversaires qui ne savent plus quoi faire. Ni quoi dire. A part insulter et menacer…

La litanie d’injures est interminable pour les opposants. Chaque sortie suffit, pour ainsi dire, à sa peine. Mais ils ne sont pas encore si près à faire le plein d’insultes, de xénophobie. A l’absence d’un projet pour le Gabon, ils n’ont que ça pour exprimer leur aigreur et surtout leur famine. Les Gabonais l’ont si bien et si vite compris qu’ils ne viennent pratiquement plus assister à leur messes stériles.

A la critique, le chef de l’Etat répond par les actes : la route, l’hôpital, le logement, l’industrie, etc. Tout avance à un rythme intenable. Tant et si bien qu’en moins de cinq ans, le pays a rattrapé plus de la moitié du retard accumulé durant les vingt dernières années. Ce qui a le don de donner du tournis à ceux qui refusent de reconnaître ce qui se fait mais sont obligés de voir ces chantiers qui torturent visiblement leurs prunelles. Un vrai supplice !

Nous avons décidé de montrer aux Gabonais ce qui se fait dans tout le Gabon car ils sont encore trop nombreux à croire que le Gabon se limite à Libreville, Port-Gentil et Oyem. Nous commençons cette semaine par la route. Précisément ce qui est en train de se faire entre Ndjolé et Medoumane, Lalara et Koumayong, Koumameyong et Ovan, Ovan et Makokou, Port-Gentil et Omboué.

Lalara—Koumameyong

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Koumameyong - Ovan 

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Ovan—Makokou

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Emergence : Le Gabon en chantier
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